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Je est un imagier pour les bébés qui raconte avec des illustrations simplifiées les désirs, les sensations, les besoins ou encore les échanges que les bébés sollicitent et qui sont nécessaires à leur quotidien et à leur éveil.
L'album présente à l'enfant ses premières images conçues à partir de trois formes simples dans une palette de six couleurs (orange, jaune, vert, blanc, bleu et marron) très contrastées : une tétine, un rond et un rectangle, des images qui ont valeur de pictogrammes.
176 mercis !
Merci est un imagier qui nomme tout avec gratitude sur 176 pages. Pas banal, n’est-ce pas ? Mais la vraie originalité de cet album, c’est qu’il n’est pas un simple imagier. En effet, il réinvente le genre en associant un récit plein de suspense et d’aventures !
Voici trois petites tortues qui viennent de naître. Dans le jardin, tous les animaux sont en émoi, ils n’ont jamais vu de telles créatures et s’étonnent de leur apparence. Chat, Lapin, Grenouille, Oiseau déconcertés aimeraient bien jouer, mais les trois petites tortues avancent à petit pas, tapeti, tapeta.
L’air de rien et à l’aide d’illustrations simples et d’un texte à l’oralité savoureuse, Corinne Dreyfuss nous parle de la rencontre avec l’Autre, celui qui ne nous ressemble pas.
Jeune, Caiti Lord montait sur scène à Broadway. Loin de la vie new yorkaise avec sa maman, la voilà exilée à Madrid, ville-fantôme du Nouveau-Mexique. Pourquoi donc ce choix de destination ? Caiti étouffe aux Etats-Unis dont le contexte politique trumpiste est tendu. Elle a besoin de vivre, d’exister, et se cherche. Alors, à 30 ans, elle chante, elle répète et chante à nouveau. Pour subvenir à ses besoins, elle sert dans un bar des cherry cocktails tout en échangeant avec les clients, dont de nombreux hippies. Elle anime, écoute les auditeurs et se raconte aussi à la radio locale.
Ichiko est une jeune japonaise qui fait son retour à la terre après une expérience citadine et une relation amoureuse décevantes. Installée dans le village de Komori (qui signifie petite forêt en japonais) où elle a passé son enfance, elle mène une vie âpre mais a priori sereine, rythmée par les travaux des champs et le cycle des saisons.
Son émerveillement et sa curiosité pour la faune et la flore qui l’entoure sont restés intacts, tout comme sa joie de cuisiner avec les produits de la ferme et les fruits de ses cueillettes.
Le nid de Lucie Félix est-il un livre ? Il n’y a pas de page, pas d’histoire. C’est plutôt un objet livre. Un objet culturel qui se regarde, se joue, se construit.
La boîte se compose d’un plateau qui se déplie en un tapis, et de trois oiseaux à bascule avec les patrons pour en créer d’autres.
Yasmina Liassine professeure de mathématiques, est née au début des années 60 d’une mère française et d’un père algérien. Elle explore les déchirures et les espoirs de l’Algérie postcoloniale, symbolisée par « l’oiseau des français ». A travers son héroïne, Anissa, l’auteure questionne sa place au sein d’une double culture. Dans ce roman, ce sont les femmes qui transmettent des savoirs sur la terre, les plantes, les animaux et la cuisine. Ainsi, passé et présent oscillent continuellement, et dévoilent l’envie d’une identité partagée.
Dee Dee Bridgewater est une chanteuse de jazz américaine renommée. En 1976, elle sort son premier album orienté soul et funk Dee Dee Bridgewater chez Atlantic.
Son hommage à Ella Fitzgerald, Dear Ella, lui vaut le Grammy Award du meilleur album de jazz en 1998.
« Je m’adresse aux plus jeunes mais avec des techniques et des images exigeantes comme si je m’adressai à un public adulte » nous dit Marion Rampal lors de la présentation de la rentrée de Actes Sud Junior.
Cette revue, entièrement consacrée au cinéma documentaire, a été créée en 1989, en même temps que l’association Images en bibliothèques. Un comité de rédaction est à l’œuvre pour rédiger chaque numéro. Ce projet est à l’initiative de Catherine Blangonnet-Auer, professionnelle du cinéma, dès 1993. Chaque numéro se consacre à un thème ou réalisateur. Des analyses de films et des entretiens éclairent les œuvres.